samedi 19 mai 2007

Broc imbriqué dans une baraque.

Elle est comme une désespérée, Grain, au milieu du Rhin Garde ! Au milieu de rien. Faisant de son lit l'épave d'un bateau Pierre qui la maintient au fond Soeur voulant un appui Sans se soucier des êtres chers, Chant un bout d'eau Rayée ou non, elle s'en moque Heure qui ne défile plus Vieux temps qui passe Tel l'Éternel On bonifie. Elle veut sombrer Dans une chappe, De plomb ou de Ronds, Mais faîtes que ce soit long. Éloge d'une partie du corps, autrement dénommé "Blason". "La joue renaît telle le Phoenix de ses cendres." Ton joug tu imposes Tu es toute rose D'avoir trop joué Toute la journée Une joue en feu En joue, feu ! Soudainement, tu te creuses Lorsque tu n'es pas heureuse Tu perds tes couleurs Face à ce malheur Tu n'es plus enjouée Tu n'es plus qu'un jouet Loin de te dégonfler Te revoilà comme tu plais ! Joufflue à souhaits Reine du visage Comment être sage Quand on espère seulement Te croquer à pleines dents.

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